Stagiaires, sachez lire entre les lignes des projets que l'on vous propose.
Il est même des cas où il ne faut lire qu'une ligne sur deux...
Ma chère Lorie, avant de signer ce contrat de stage, parlons
de notre projet. A ce jour, j'ai vu peu de candidats qui m'ont
cru : avec Jean-Pat, mon associé, nous voulons juste vous mettre
au courant du concept revolutionnaire que nous avons concocté
tous les deux, dans mon bureau, en toute discrétion.
Il s'agit d'un projet original et confidentiel pour lequel
vous pourrez vous investir et profiter à fond des très gros
moyens que nous avons l'habitude de confier aux
membres de notre équipe. Je souhaite que vous puissiez jouir
d'une vraie autonomie dans votre job et que vous en profitiez
pleinement, grâce à notre tour de main. Jean-Pat veut monter
rapidement un dossier de financement et il va compter
sur vous pour aller plus vite. Moi, je vérifierai que les tâches
sont identifiées et que toutes erreurs ou les fautes de frappe
que nous pourrions laisser dans nos rapports soient bien effacées.
Salut E-Manuel, je vois que les choses s'organisent, et bien avec ça ! J'espère que tu a profité de ton jeudi soir pour faire la connaissance du taulier auprès duquel je t'ai chaleureusement recommandé. Bravo et longue vie au blog qui dé-manage...
Rédigé par : David | 15 octobre 2005 à 17:56
Cher Monsieur David,
Il me semble que les conversations personnelles sur ce Blog sont réglementées de manières très strictes et que cette incursion que l'on pourrait qualifier de "copinage" manifeste pourrait et devrait être sanctionnée par la Direction par un Blame.
Je ferai un courrier à cet effet. Je serai la caution morale de cette aventure cybernétique afin que tout, pardonnez l'expression, ne parte pas en couilles.
Monsieur, je ne vous salue pas.
Rédigé par : fv | 15 octobre 2005 à 21:19
Cher Fredo,
Vos compétences de limier (pas de confusion, hein : limier avec un i avant la terminaison) me la coupent sous le pied. Je parle de l'herbe, celle qui est toujours plus verte chez le voisin. Vous êtes un peu mon Jean-Pat, finalement. Je suis fier que vous ayez débusqué cette complicité (que je prends le soin de ne pas appeler duplicité). Votre sollicitude fait honneur à notre mentor. Bonjour chez vous, où je ne manquerai pas de vous rendre visite...
Rédigé par : E-manuel | 15 octobre 2005 à 21:45