Certains membres de la communauté financière ont érigé l'EBIT comme un indicateur de la bonne santé de leurs affaires (en particulier dans les situations de redressement). Cela permet aux analystes d'arbitrer leurs positions sur les bourses du monde entier. Il me paraît toutefois risqué de tout miser sur le jugement de ses pairs. Sauf à vouloir se trouver en situation de burn-out.
A titre personnel, je préfère penser que l'action n'est pas une obligation. Certains passifs se sont déjà retrouvés comblés sans que personne n'ait pris le risque de mouvements à la hausse ou à la baisse. Bien sûr, avec des puts et des calls, il est facile de dériver et de prendre des options liquides. Encore faut-il se protéger. Avant son récent retrait, Jean-Pierre Gaillard (s'il en est) ne conseillait-il pas d'éviter les pertes pour conserver ses fonds propres ?
(*) EBIT : Earnings Before Interest & Taxes
burn-out : épuisement professionnel
Mon Cher Emmanuel,
J'adore tes VAN, mais j'ai du mal à faire le TRI ...c'est dur quand on excel en rien. La prochaine fois j'aurais intérêt à me lever plus taux (i,i iiiii) ? A te lire je suis emprunt (t.ttt) d'une grande émotion. Tu devrais t'intéresser au play-back, car le direct c'est trop fatiguant ...
Amitiés
Jean-Marie
Rédigé par : Jean-Marie Colombeau | 15 octobre 2005 à 12:46
Slogan : "l'EBIT c'est la Santé"
Rédigé par : fv | 15 octobre 2005 à 21:20