Belle-maman,
Je suis vraiment content pour vous : ce job à Dijon est une excellente opportunité pour votre carrière. J'ai bien senti que vous aviez besoin d'espace et que la garde des enfants des voisins commençait à vous peser depuis quelques semaines.
En tout cas, mon ami Patrick m'a dit le plus grand bien de vous. Vous lui avez fait forte impression. Mais si, allons, Belle-maman : mon ami Patrick Jefferson, le financier là, qui est venu passer le week-end ? Ah bon ? Comment ça, "il ne m'inspire pas confiance" ? Vous exagérez, Belle-Maman : c'est un garçon dévoué, charmant, cultivé et qui sait être tout à fait discret. Ah bon ? Quelle cassette sur Internet ?
Enormes les sous titres. Euh, quand on aura cours ensemble, enfin... Les restos ... C'est vraiment obligé ? Ouarf.
Rédigé par : François | 09 janvier 2006 à 11:22
Dites moi, c'est un sacré zigoto cet e-manuel !
Remarquez, moi, j'ai toujours pensé qu'il avait un double langage.
Rédigé par : Bébert | 09 janvier 2006 à 21:13
Zlabro zalad buzz-margding jvalop, Bébert ! Vrigvid zargounio jbalev bernartapi... Oudob nied magdonal $120 pidzahout grizbnic ed François !
zbvad : Patrick Jefferson
Et encore, je n'ai pas tout raconté, Bébert. Sa grossierté est insondable... Pour le restau, je crois qu'il compte pourtant sur vous, François.
signé : Patrick Jefferson
Rédigé par : E-manuel | 09 janvier 2006 à 21:32