Mise en abyme : Procédé d'inclusion infinie d'un élément dans une représentation qui le contient.
Je tiens, à cet égard, à exprimer le plaisir que j'ai de devoir saluer tous ceux qui m'ont remercié d'avoir fait preuve de gratitude à l'égard des internautes qui m'ont rendu visite ici depuis un an. A mon tour, je les en remercie.
Subliminal : Niveau de perception infra-consciente étudié dans le domaine de la persuasion publicitaire afin d'établir si des images ou sons furtifs ce blog est génial insérés dans des publicités pouvaient provoquer une plus grande mémorisation dicoblog de la part des consommateurs. Les résultats sont peu probants si l'on en croit les manuels de management.
Application professionnelle : devenir soi-même un sublime minable auprès de son assistante.
Je profite du joujou découvert par Techbee pour proposer une sélection de magazines mensuels à commander auprès de nos services. Pour tout abonnement d'un an, vous recevez un palm, une douzaine de lecteurs MP3, du champagne, 5000 miles sur votre carte Flying Blue member of Skyteam et douze numéros gratuits dudit mensuel. Avec le premier numéro, nous vous envoyons également une figurine de Bill Gates en plâtre et un fassicule, qui, comme son nom l'indique, devrait vous faciliter la vie si vous travaillez dans un cabinet.
J3C est le magazine éponyme du cabinet de J2C. J2C est l'acronyme de Jean-Claude Crugnot, le fondateur de J4C. J4C est la société anonyme "Jean-Claude Crugnot Consulting Cabinet" : c'est aussi la holding qui détient les parts du cabinet J3C dans lequel travaille J2C. J3C – je devrais dire "le magazine J3C" pour qu'il n'y ait pas de confusion avec J2C, l'homme et J4C, la holding – J3C, disais-je, est écrit dans un style aussi fluide que l'ont été les liquidités que J2M a empochées il y a quelques années. Pour les plus jeunes, J2M était l'acronyme d'une autre personnalité spécialisée dans les stratégies d'entreprise foireuses qui se faisait appeler J4M quand il se croyait Maître du Monde.
Le choix du titre de la revue "Sciences & Affaires" a fait l'objet de seize réunions ordinaires, trois assemblées générales, neuf séances de travail en commission, dont quatre réunions de sous-commissions de spécialistes, deux séances plénière et une assemblée générale extraordinaire afin que les vingt-trois co-fondateurs de la revue s'entendent sur une forme plurielle recevable au plan académique. Quatre courants se sont affrontés : les partisans du s à sciences mais pas à Affaire, du s à Affaires mais pas à science, ceux qui voulaient un double singulier, et ceux qui voulaient écrire Affaires d'abord et Science ensuite. Ceux-là ont été un temps rejoints par ceux qui voulaient un s à Affaires mais pas à Science jusqu'au moment où les partisans du double singulier se sont ralliés à ceux qui étaient prêts à mettre un s partout. Un courant "TSDSP" (tout sauf des S partout) a organisé le vote d'une motion permettant de désigner un panel d'experts chargé d'établir une proposition de synthèse. Ce groupe de recherche a été animé par deux spécialistes, titulaires d'un doctorat en philologie appliquée, qui se sont partagé la co-présidence lors des séances grâce à un ingénieux système de vote pondéré par le nombre d'étudiants inscrits dans leur université d'origine. Ils ont ainsi pu rédiger deux rapports (l'un, intitulé "SynthèseS & Perspective", l'autre publié sous le titre "Synthèse & PerspectiveS") qui concluaient tous deux par la nécessité de se pencher sur la façon de figurer le "Et", mot de liaison essentiel pour comprendre l'interpénétration des concepts.
Ce numéro hors-série du Jargonaute propose un concours dont le règlement est déposé auprès de Maître Trichard à Garges-lès-Gonesse et qui est sans obligation d'achat. Non, ce n'est pas Maître Trichard qui est sans obligation d'achat, c'est le jeu-concours. Bon. Je reconnais, c'est vrai, "Maître Trichard", pour un huissier : bof bof. Bon. Mais en même temps, ce n'est pas lui qui a choisi son nom et je sens qu'on va encore s'éloigner du contenu de la revue si vous me demandez en plus "et pourquoi Garges-lès-Gonesse ?". Franchement, pourquoi ce monsieur Trichard, qui - je le redis - n'y est absolument pour rien dans le choix de son nom, et qui exerce la difficile charge d'huissier, n'aurait-il pas le droit d'exercer à Garges-lès-Gonesse ? Mmmm ? Alors, la règle du jeu : proposer le meilleur article pour la revue. Vous pouvez utiliser le tutoriel proposé par Annie-la-Fidèle pour vous faciliter la vie. Parce que, une chose est sûre : trouver des idées de contenu pour une revue, c'est finalement le moins facile. Comment ? Qu'est-ce qu'on gagne ? Ah oui, c'est vrai : il faut un lot. Bon. Je rappelle monsieur Trichard et on en reparle. En attendant, amis jargonautes... à vous de jouer !
Traduire en langage de colloque le témoignage du chef d'entreprise ci-après :
J'vais vous dire une chose : un bon vendeur, faut pas qu'il se prenne la tête dans des stratégies marketing à la mords-moi-le-noeud. Il faut d'abord qu'il sache faire une chose : se relever les manches pour mettre les mains dans le cambouis. Moi, quand j'ai monté ma boîte, j'ai démarré avec ma bite et mon couteau. Et je n'avais qu'une idée fixe : le bizness.
Alors toutes les théories qu'on apprend dans les écoles, à part pour enculer les mouches ou empailler des moustiques, ça ne vaut pas le travail de fond sur le terrain. Lire un livre, c'est bien joli, mais c'est pas ça qui va te faire signer un bon de commande.
Proposition de corrigé :
L'analyse sémantique du verbatim d'un entrepreneur interviewé dans le cadre d'un entretien semi-directif permet de recueillir plusieurs registres d'expression dans lesquels s'inscrit de façon spontanée et souvent imagée la représentation la plus immédiate des enjeux du métier de "vendeur" tel qu'il est perçu par les praticiens. Pour articuler de façon schématique ce système de représentations sous-jacent (Pinok & Yo, 2001), il est nécessaire de recourir à un paradigme praxéologique (Draget & Fuca, 1997) de nature à interroger les fondements cognitifs, affectifs et conatifs de l'ensemble des transactions que l'on qualifie souvent hâtivement d'acte de vente (Dupin, Duvin, 1990 et Duboursin 2002).
La phase d'interview d'experts a notamment mis en évidence la nécessité d'un apprentissage d'abord fondé sur une prédisposition favorable à l'action (Indenwagen & Simone, 1999). Selon cette modélisation rudimentaire, le comportement d'un vendeur in situ doit être compris de manière relative et contingente et ne saurait simplement s'expliquer a posteriori par la connaissance approfondie (ou non) d'une littérature managériale jugée somme toute confuse et inefficiente dans une culture entrepreneuriale d'abord centrée sur la production de résultats tangibles.
Il semble, au contraire, qu'une symbolisation psychologique des attributs de la virilité soit non seulement suffisante mais aussi nécessaire pour figurer la relation d'implication qui lie le vendeur à son activité (Scotch & Brite, 2004).
Dès lors que le processus d'apprentissage valorise de manière fonctionnelle les acquis de l'expérimentation, un jeune vendeur devrait pouvoir préférer une acculturation fondée sur la pratique à l'acquisition d'un référentiel bibliographique que l'on attendrait d'un entomologiste ou d'un taxidermiste (Drozaud & Phil, 1994). Dans ce contexte, l'intensité de l'engagement d'un individu pourrait se trouver limitée ou contredite par l'accumulation vaine et - en définitive - fallacieuse (Holly, Wood & Chimgom, 2005) de références théoriques surtout lorsque celles-ci se substituent à l'obtention de preuves concrètes de sa performance sur le marché (Bond & Hacha, 2003).
- Dis, Stéphanie, est-ce que t'aurais un timbre s'te plaît ?
- Bouge pas. Je checke auprès de Valérie. Valérie ? Ouais, dis-moi, je fais un peu d'outsourcing, là. Est-ce qu'il te reste des timbres ? Ah ? OK, je vois. Tu me rappelles, alors ?
- Allo, Phil ? c'est Valérie. Y a Stéphanie qui m'a fait une expression de besoin, faut que je puisse réagir ASAP. Est-ce qu'on peut lui déstocker des fournitures pour son staff ? Nan, c'est du short-term, elle s'occupera du réassort. Tu vois avec Benoît ? Sympa.
- Salut, Benoît. J'aurais besoin de ton expertise pour donner un feed-back à Valérie. Apparemment, elle est dans un process d'appro mais elle cherche une marge de manoeuvre pour qualifier l'impact d'un déploiement non prévu. Je bloque sur SAP, pour l'instant. Avec qui je peux voir ça en interne ? Bah, si tu veux. Tu lui demandes directement ? OK. A plus.
- Ouaiiis, c'est Marco ? Saluuuut. Ouaiiiis, bien et toi ? Dis-moi : si on veut éditer une spécification fonctionnelle dédiée pour du matos, qu'est-ce qu'il vaut mieux activer comme plateforme ? Bah, en fait, si j'ai bien compris, c'est pour gérer un appel d'offres en apportant une réponse en flux continu. Je m'appuie sur une externalisation, tu crois ? Bon, j'attends ton mail. Ouaiiiiis, à plus.
- Hello, c'est Marco, à l'appareil. Juste une question, Dorothée. Pour le projet de e-procurement, il y a une montée en puissance de prévue ? Nan, c'est parce que j'ai une demande spécifique, là. T'as toujours ton stagiaire qui fait le paramètrage ? Tu peux lui demander de passer ? Ben écoute, il faudrait fonctionner de façon décloisonnée, quand même. On prétend partout qu'on propose des solutions créatrices de valeur et on n'est même pas foutu d'optimiser les opérations pour nous-mêmes. Là, tuwa, j'ai vraiment besoin d'être accompagné, sinon je ne vais pas m'en sortir. Je sais, je sais, Dorothée ; t'énerve pas. Ecoute, t'as qu'à en parler directement à Hervé. Après tout, c'est lui qu'est censé faire les développements.
- Bon, Hervé. Je me suis fait remonter les bretelles par Marco : il va vraiment falloir être pragmatique. Je ne sais pas ce qu'ils ont encore inventé, mais ils veulent redéployer leur stratégie de globalisation et revoir tout le cahier des charges. Apparemment, il y a des spécifs qui merdent et ça génère de la non-valeur. Je lui ai dit qu'on allait accroître la performance de leur système, patin couffin, mais maintenant, faut assurer. Est-ce que tu peux voir ça avec ton équipe ? 
- Bon, les gars : réunion à 11 h 30 dans la salle du haut. Pardon ? Oui, toi aussi, Magali. Manifestement, il faut qu'on fasse un reenginering du process supply chain pour toute la division. Il paraît qu'on ne crée pas assez de valeur et qu'on leur a pas filé les bons outils de pilotage. Alors, là haut, ils nous demandent d'accélerer l'adaptation de notre offre pour rester dans le core business. Magali, t'es gentille, tu forwardes le mail à l'assistante de Martinaud, à Melun. Il va falloir qu'il prenne aussi ses responsabilités, celui-là. Ouais, ben tu lui envoies par courrier, alors. Quoi encore, Magali ? Un timbre ? Eh ben, tu demandes à Stéphanie ! Elle doit bien avoir un timbre en rab, tout de même. Ah bon ? Eh bien, tu lui en demandes un autre, et pis c'est tout. Tu vas pas nous faire tout un cake pour un timbre, à la fin ?
- Source images : site de ArtsQuebec -
Après les films Bollywood de l'agence Graphéine, Sergent Garcia nous propose de sous-titrer des morceaux choisis de feuilletons façon "telenovela". Les créatifs qui veulent s'en donner à coeur joie pourront également concevoir et sous-titrer un clip publicitaire japonais pour la marque Axe (info Culture Buzz).
Découvrez le Fablabla en spray :
Echec : Mauvais coup reçu par un manager lorsque le destin lui joue des tours. Il existe alors trois postures : jouer à celui qui s'en fou, caser n'importe quel argument (même le plus cavalier) pour se défendre, ou damer le pion à ses adversaires en endossant l'échec en blanc avant tout le monde.
Voilà qui nous amène sur un plateau une occasion de prendre des nouvelles du buzznesman d'Eurostar (spécialiste de la fameuse matrice de Schmutz).
Alors que mon collègue e-consultant se livre aux pires manoeuvres pour faire la promotion de son livre, je vous propose cette semaine une sélection d'ouvrages pour les petits et les grands. Générique ! (cliquer deux fois sur le petit bouton vert).
Le Petit Tâcheron Rouge est un classique des contes d'exploitation. Le récit met en scène une petite filiale de 600 ouvriers qui envoie régulièrement un de ses tâcherons porter une malette et un petit pot de vin à sa grand maison-mère. Sur sa route, notre pékin rencontre le grand Mei Chang Lu qui lacoste sans contrefaçon. Ayant obtenu une copie de son plan, il laisse le tâcheron à bicyclette et fait un grand bond en avant jusqu'à la maison de Mei Mei. Se faisant passer pour un contrefacteur, il sonne deux contrefois, avale la vieille holding avec des capitaux américains et se planque au milieu du conseil d'administration. A son arrivée, le tâcheron, fin observateur, se demande si ce nouveau membre va lui tirer la bobinette ou le faire marcher à la baguette. S'ensuit un épisode de fusion-acquisition sanglant qui donnera aux futurs chapeaux chinois des tâcherons leur couleur vermillon. Encore de nos jours, ils ne vécurent pas heureux, mais eurent les jeux olympiques.
Dans cet épisode, Abraracourcix se lance dans le management participatif. Il fait appel au cabinet romain Toujourplus qui lui propose d'implémenter un process de développement proactif et d'améliorer les performances du village en fonction d'un feed-back continu. On découvrira très vite que le consultant dépêché pour cette mission, le jeune Politecnix, espère secrètement utiliser l'Asterix Team comme un levier permettant d'atteindre ses propres objectifs de création d'un parc d'attractions en partenariat avec Macdonum. Bien sûr, au début, Obélix refuse de préparer des coachons rôtis à la place des sangliers, Ordralfabétix ne veut toujours pas réduire le lead-time dans le temps d'écoulement de ses poissons et Idéfix aboie systématiquement au passage de la caravane publicitaire. Mais heureusement, la fringante équipe atteindra ses goals et trouvera de nouvelles sources de croissance en capitalisant sur les technologies et les outils analytiques du XXIème siècle pendant JC pour transformer le village en entreprise performante. De quoi conclure ces nouvelles aventures par un joyeux banquier.
Ce guide pratique s'adresse à ceux qui ont quelques kilo-euros en trop sur leur feuille d'impôts et qui souffrent au quotidien de cette surcharge (hernies fiscales, hyperpension, douleurs artichulaires,...). Si vous êtes lassé des méthodes classiques et souvent restrictives qui somment le contribuable de réduire son assiette, de mieux évaluer les fourchettes, ou de prendre des demi-parts, le programme du professeur Topé vous conviendra parfaitement. Il s'agit d'un régime dissocié qui impose de ne jamais mélanger valeurs morales et valeurs financières pendant tout le temps de vos vacances prolongées dans un paradis fiscal. Reprenant à son compte la formule du milliardaire Howard Hugues selon laquelle on ne peut pas avoir à la fois de grands principes et de grands bénéfices, le professeur Topé a ainsi élaboré une véritable diète éthique. Celle-ci a d'ores et déjà conquis de nombreux joueurs de foot, des stars du music-hall et une kyrielle de capitaines d'industrie qui jouent désormais au racket en Bermuda.
Depuis que le bobo agite le bubu (bulbe butyreux) des cracras (crapules cravatées) qui hantent les cacas (cabinets capitalistes) des pupus (publicitaires purotins) et autres ponpons (pontes pondeurs), les joujoux (journalistes jouteurs) rivalisent avec les linlins (linguistes luminescents) pour segmenter la famille de ces concons (consommateurs compulsifs) et chercher à comprendre leur momos (motivations monnayables). Ils butent ainsi sur une question cucul : a-t-on affaire à des riris (richards rigolos), des fifis (financiers finauds) ou des loulous (lumpen-prolétaires loufoques) ?
Difficile de se fier au look pour trancher, tant l'apparence est souvent trontron (trompeusement tronquée). En examinant la faune des bobos, on trouve à la fois des pinpins (pimbêches peinturlurées) et des cocos (commerciaux costumés), des momos (morues monumentales) aux bras de puissants gogos (gorilles gothiques) et une grande variété de mimis (midinettes microcéphales) accouplées à de sombres gagas (galouzeaux galeux).
En réalité, c'est un simple cricri (critère criminalistique) qui peut mettre les cocos (commerciaux cossards) sur la voie : il suffit simplement d'étudier leurs dédés (dépenses débridées) en fufu (fugitives fumettes) pour savoir si l'on est face à un bobo ou à un popo (pov'type potentiel).
La raison est très simple : pour assouvir leur vice fumigène, les ronrons (ronds de cuir ronflants) coopèrent avec les fonfas (fonctionnaires faméliques), les propros (propriétaires profiteurs) et les cocos (colocataires kholkoziens) s'entendent comme des lalas (larrons lascifs) en foire, les zurzurs (urbains zurpayés) comme les banbans (banlieusards banqueroutiers) fraternisent dans un même moumou (mouvement moutonnier) vers le pépé (pernicieux pétard). C'est ainsi qu'on doit au talent des gagas (galonnés gabelous) une astuce tiptop pour pister le bobo au premier coup de neuneuil : il suffit de savoir distinguer les coucous (couillons couperosés) des poupous (poupins pourvoyeurs) pour savoir s'il on est face à un popo (pochtron poète) ou à un bobo labelisé.
Le tratra (tragique trafic) des bobos a ainsi une vertu stupéfiante : mettre au boulot dodos (dociles douaniers) tandis que les mamas (marketeurs malins) peuvent compter sur le chaud chichon pour leurs tranches de pub.
A vous pour les cocos (copieux commentaires).
C'est la rentrée et donc le moment de faire connaissance avec les e-tuteurs qui vont vous accompagner sur ce blog tout au long de l'année. Il est encore temps de vous inscrire aux modules de e-learning pour donner un nouveau départ à votre carrière de M3M : manager du 3ème millénaire.
Le Professeur Bakari propose un module de radiesthésie managériale appliquée. Si ton banquier t'a quitté, résultats nets avant impôt et prospérité reviennent dans 4 jours, action puissante pour soigner les problèmes d'EBIT et de trésorerie, guérit par graphologie et radiesthésie, don de naissance, protection contre les forces syndicales, fait les prévisions de ton business plan, fait mégrir les effectif. Dons surnaturels : vous pouvez lui en faire si vous vouler.
Jean-Yves Prigent devrait mettre en ligne un support virtuel de management dubitatif. Si la technologie le permet, sa contribution pourrait permettre aux managers indécis de s'interroger sur l'usage du conditionnel dans un environnement incertain. En appliquant éventuellement cette méthodologie à des projets émergents, les managers pourraient ainsi mesurer une partie de l'impact de leurs hésitations sur la variabilité de leur embarras potentiel. Ce module devrait, sous toute réserve, être accessible prochainement et conviendrait ainsi aux candidats encore indéterminés.
Un module toujours très applaudi, je veux bien sûr parler de : Soniaaaaaaa Puuuu-chon ! Une Sonia en pleine forme en cette période de rentrée, qui devrait assurer avec la fougue qu'on lui connaît un cours très décoiffant sur l'enthousiasmologie appliquée au management caniculaire. Un cours très très chaud, qui vous transportera dans la moiteur du team & body building. Son mot d'ordre : la ferveur fait vendre. Pas fafile à dire, fertes, furtout pour elle qui a un léger feveu fur la langue, mais bon, avec le e-learning, fa fe voit pas trop.
Jacky Martinaud. Bon, là, ça rigole pu. Avec Jacky, t'as intérêt de piger comment ça marche un bilan et compagnie. Le Jacky, il a beau êt expert-comptabe, ta compta, c'est pas le genre qui va t'la tenir au cabinet. Alors, autant te dire que débit, crédit et tout le bastringue, tu vas t'y mette fissa. Pour commencer, le gonflez pas trop avec vos ordinateurs de leurning. Lui, la compta, pour les arpètes, c'est au crayon de bois sur papier carreaux. Donc, tu me suis : les tarlouzes qui veulent jouer les secrétaires qui tapent à la machine, ça va voler par la fenête, j'te prie de croire.
Pour toute information complémentaire ou pour s'inscrire à l'un de ces modules, vous pouvez laisser un commentaire. Bonne rentrée !
